La plupart des prescripteurs ont tendance à privilégier la molécule qui a déjà marché en cas de rechute ou de récidive, et ils n'ont pas tort. Il s'agit cependant d'une généralité. Chaque cas particulier doit être analysé en détails. Je vous conseillerais la même attitude vis-à-vis du prescripteur : solliciter celui qui avait réussi à vous aider la dernière fois plutôt que de vous orienter vers l'automédication.
Psychothérapeute Répondu le : 11-01-2016 19:01